Cosmétique naturelle, un effet de mode ou une nécessité ?
- La Team Bar à Visage
- 10 mai 2020
- 2 min de lecture
Stress, vie urbaine, alimentation transformée, pollution et tant d’autres facteurs qui influencent notre organisme d’une manière significative. Notre peau n’est pas épargnée de cela. Pour y palier le consommateur fait appel à une panoplie de produits cosmétiques dont les risques sont de plus en plus mis sous les projecteurs après des études scientifiques.
Les cosmétiques naturelles, représentent une véritable alternative qui devient de plus en plus nécessaire pour prendre soin de sa peau sans la badigeonner de dérivés de pétrochimie et autres composants nocifs pour la santé et aux senteurs alléchantes.
Petit bémol, un consommateur lambda n’est pas forcément au courant de la différence entre un produit cosmétique Bio, naturel ou juste emballé dans du « vert » et intelligemment marqueté. En effet un produit certifié Bio et un produit dont un organisme habilité à le faire et agrée comme COSMEBIO contrôle et atteste que le produit est réellement certifié Bio, respecte la charte exigée dans ce sens et répond aux exigences et critères imposés par le cahier des charges du label en question. Seuls les produits qui répondent à ces critères, ont le droit de porter la mention Bio. Parmi ces critères on retrouve le pourcentage minimal d’ingrédients d’origine naturelle qui devrait être au moins de 95 % selon les exigences du label COSMEBIO et 95 % au minimum d’ingrédients issus de l’agriculture biologique. Les laboratoires PHYT’S s’imposent d’aller encore plus loin et propose dans la grande majorité de leurs produits cosmétiques du 100 % d’origine naturelle.
Maintenant que nous avons démêlé pour vous le vrai du faux quant aux cosmétiques Bio, vous savez ce qui vous reste à faire, bien lire l’emballage de vos produits et la liste d’ingrédients.
Le mot Bio à lui seul sans preuve de conformité ne veut rien dire…
Faire le pas et switcher vers les produits cosmétiques et le maquillage Bio est une aubaine pour la santé, pourquoi s’en priver alors ?
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